Un peu d’histoire 

Douar Den est née en 2006 à l’initiative de paysans Bio du Centre Bretagne adhérents de l’association Aval-douar Beo,  de Fabris Trehorel, et des trois expéditeurs historiques spécifiquement Bio de Bretagne : les sociétés Bio-Porhoët, Poder et Maraîchers Bretons, devenue depuis Pronatura Bretagne.

Elle a eu pour premier objectif de développer les notions de concertation et de partage entre les différents acteurs de la filière pomme de terre biologique bretonne et d’assurer la collecte et l’expédition de plants biologiques de pomme de terre.

L’objectif de ces partenariats, au-delà de la mutualisation de compétences et de moyens, était d’assurer une juste rémunération de chacun des acteurs grâce à la méthode de la Construction ascendante des prix basée sur les coûts de revient.

Son spectre d’action c’est aujourd’hui élargi à d’autres espèces telles que la Carotte, l’Oignon ou l’échalote, en bio toujours, ainsi qu’à d’autres acteurs.

Hommage aux audacieux

Les principaux responsables de cette initiative audacieuse sont (par ordre alphabétique) : Roland Convers, Jean-Paul Cougard, Jean-Luc Cousin, Jean-Marc Le Gloan, Gilbert Le Jeloux, Bernard Le Saint, Jean-Luc Poder, Fabrice Rault, Nathalie Rault, Jean-Yves Thomas, Fabris Trehorel.

Si une partie de ces fondateurs ne sont plus en activité aujourd’hui, ils ont été rejoints et relayés pour faire de cette «utopie » une réalité.

Implantée à Saint-Nicolas-du-Pelem depuis 2007, Douar Den a été créée sous forme de Société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) dans le but de proposer des aliments sains issus de pratiques respectueuses de la terre et des hommes.

« Les SCIC ont pour objet la production ou la fourniture de biens et de services d’intérêt collectif qui présentent un caractère d’utilité sociale. »

Les 5 commandements de Douar Den

1. Respecter le cahier des charges de l’Agriculture Biologique

2. Associer les savoir-faire et les  acteurs nécessaires au fonctionnement de la filière

3. Se fixer des objectifs qui servent l’intérêt commun

4. Rechercher un juste équilibre dans les pratiques et dans les relations

5. FAVORISER l’adéquation entre l’offre et la demande